Thursday, May 10, 2007

Mise au point


Le Samouraï, 1967
[The Samurai]

Le Samouraï opens to a shot of rain beating onto the window of a darkened room. At the corner of the frame, a puff of smoke emanates from a lit cigarette. An occasional shrill chirp is heard from a caged bird. The rest is silence.
An impassive man, Jef Costello (Alain Delon), rises from the bed, dons his trenchcoat and fedora, and leaves the room. On the street is an unlocked car. He sits in the driver's seat, produces a set of master keys from his coat, and methodically tries each key until the ignition starts, then speeds away. He then visits his lover, Jane Lagrange (Nathalie Delon) in order to arrange an alibi.
But she is meeting her suitor, a respectable older man named Wiener (Michel Boisrond) later in the evening, and will not be able to provide him with a complete alibi.
A second stop at a back room poker game is needed, and Jef has an alibi for the remainder of the evening.
Soon, his actions become clear; he has been hired by an anonymous syndicate to kill the owner of a popular night club. However, things do not go according to plan. On the way out of the owner's office after the murder, he is spotted by a number of employees, including a lounge pianist, Valerie (Caty Rosier), who stares him in the face.

However, in a puzzling turn of events, Valerie will not identify Jef as the killer despite her clear recognition of him, and the inspector (Francois Perier) is compelled to release him. Meanwhile, the syndicate learns of Jef's police detention and, troubled by the potential discovery of their association, hires a second contract killer to silence Jef. Now hunted by both the police and the syndicate, Jef is forced to rely on his own instincts to survive.

Jean-Pierre Melville creates a precise, taut, and elegant film in Le Samouraï.

Jef's inscrutable, Bressonian demeanor (note the similarity of Jef's countenance with Michel's in Robert Bresson's Pickpocket) is reflected through the use of austere colors (blues and grays), inclement weather, and pervasive silence to create an unnatural and unnerving atmosphere. Furthermore, the repeated image of the caged bird, the police interrogation and surveillance, and the pursuit in the Paris Metro (intercut with disorienting images of the position indicators lighting the intricate subway map), contribute to a sense of entrapment, as Jef attempts to evade everyone while pursuing Valerie, believing that she holds the key to the identities of the anonymous syndicate. Inevitably, Jef finds himself returning to the scene of the crime, to confront the enigmatic Valerie, and in the process, face his own destiny.

© Acquarello 2000. All rights reserved.






Alain Delon
Comme au cinéma

Paroles et Musique: JM Moreau, R.Musumarra 1987
© 1987 - Disque Carrère


Blanc et noir
Extérieurs xxxxx sur la Jaguar
Comme au cinéma
Mise au point sur moi

{Parlé:}
On a raconté plein d'histoires
Entre "le Jeune Loup" et "le Guépard"
C'était souvent assez banal
Mais ça suffit pour faire du mal
Y a des gros plans des images floues
La vérité c'est juste en dessous
Qu'est-ce qu'on peut dire
D'un homme comme moi ?
On dit c'qu'on veut
Moi, je changerai pas !

{Chanté:}
Quelques mots qui pourraient changer le scénario
Comme au cinéma
Mise au point sur moi

{Parlé:}
Plans serrés, musique d'ambiance
Quelque fois on s'trompe de séquence
Ni passé simple ni passé compliqué
J'conjugue ma vie à l'imparfait

{Chanté:}
Sous les projecteurs
Manque de chaleur
C'est tant pis pour les acteurs

{Parlé:}
Mais quand je suis tout seul devant le miroir
Derrière les mots, derrière l'image,
Y a plus de star
Et tout ce qui se passe à l'intérieur
Ça s'appelle aussi la pudeur
Le meilleur rôle d'un homme public
C'est de ne jamais ressembler à ses critiques
Moi, je suis comme tout le monde
Je n'suis pas très sûr
Mais j'ai des rêves pour le futur

{Chanté:}
De projecteurs tout en couleurs
Pour faire rêver les menteurs
Plus de projecteurs
Coupez moteur
C'est trop dangereux
Pour le cœur

{Parlé:}
Je voudrais simplement qu'un jour
Tu reviennes enfin me parler d'amour
Les caméras resteraient à leur place
Et entre nous on briserait la glace

{Chanté:}
Car si je t'aime du fond de ma nuit Américaine
C'est plus du cinéma
Mise au point sur toi

{Parlé:}
Alors pour toi, pour moi
On laisserait tomber la comédie
Et on s'écrirait un roman
Pour toute la vie
Allez viens, ferme les yeux,
Et sur l'écran de mes paupières closes
Alors certainement, toi,
Tu verras quelque chose

{Chanté:}
C'est plus du cinéma...
Mise au point sur toi...



Dalida
& Alain Delon

Modern styleListe des chansons de DalidaDe juillet jusqu'à septembre

Parole, parole

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Paroles: L.Chiosso, G.Del Re, Fr: Michaële. Musique: G.Ferrio 1973
© Curci France


A.Delon:
C'est étrange,
je n'sais pas ce qui m'arrive ce soir,
Je te regarde comme pour la première fois.
Dalida:
Encore des mots toujours des mots
les mêmes mots
Je n'sais plus comment te dire,
Rien que des mots
Mais tu es cette belle histoire d'amour...
que je ne cesserai jamais de lire.
Des mots faciles des mots fragiles
C'était trop beau
Tu es d'hier et de demain
Bien trop beau
De toujours ma seule vérité.
Mais c'est fini le temps des rêves
Les souvenirs se fanent aussi
quand on les oublie
Tu es comme le vent qui fait chanter les violons
et emporte au loin le parfum des roses.
Caramels, bonbons et chocolats
Par moments, je ne te comprends pas.
Merci, pas pour moi
Mais tu peux bien les offrir à une autre
qui aime le vent et le parfum des roses
Moi, les mots tendres enrobés de douceur
se posent sur ma bouche mais jamais sur mon cœur
Une parole encore.
Parole, parole, parole
Ecoute-moi.
Parole, parole, parole
Je t'en prie.
Parole, parole, parole
Je te jure.
Parole, parole, parole, parole, parole
encore des paroles que tu sèmes au vent
Voilà mon destin te parler....
te parler comme la première fois.
Encore des mots toujours des mots
les mêmes mots

Comme j'aimerais que tu me comprennes.
Rien que des mots
Que tu m'écoutes au moins une fois.
Des mots magiques des mots tactiques
qui sonnent faux
Tu es mon rêve défendu.
Oui, tellement faux
Mon seul tourment et mon unique espérance.
Rien ne t'arrête quand tu commences
Si tu savais comme j'ai envie
d'un peu de silence
Tu es pour moi la seule musique...
qui fit danser les étoiles sur les dunes
Caramels, bonbons et chocolats
Si tu n'existais pas déjà je t'inventerais.
Merci, pas pour moi
Mais tu peux bien les offrir à une autre
qui aime les étoiles sur les dunes
Moi, les mots tendres enrobés de douceur
se posent sur ma bouche mais jamais sur mon cœur
Encore un mot juste une parole
Parole, parole, parole
Ecoute-moi.
Parole, parole, parole
Je t'en prie.
Parole, parole, parole
Je te jure.
Parole, parole, parole, parole, parole
encore des paroles que tu sèmes au vent
Que tu es belle !
Parole, parole, parole
Que tu est belle !
Parole, parole, parole
Que tu es belle !
Parole, parole, parole
Que tu es belle !
Parole, parole, parole, parole, parole
encore des paroles que tu sèmes au vent

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